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Apparue dans les années 1960 la Radiologie Interventionnelle est en train de révolutionner la prise en charge thérapeutique d’un nombre croissant de pathologies.
Le terme de « Radiologie Interventionnelle » signifie : utiliser l’imagerie pour accomplir un geste thérapeutique (un geste « interventionnel») de façon spatialement extrêmement précise en utilisant une voie d’abord (un accès à l’organe) de très petite taille. On peut aussi utiliser le terme moins connu mais peut être plus juste d’Imagerie Interventionnelle.
Pour visualiser la lésion on utilise une ou plusieurs méthodes d’imagerie (angiographie, scanner ou échographie et bientôt IRM). Ensuite, et c’est la particularité de ces techniques, on va utiliser ces mêmes techniques d’imagerie pour s’aider d’un guidage permanent permettant d’agir directement au contact du processus pathologique. C’est ainsi l’emploi simultané d’un guidage extrêmement précis et d’outils spécifiquement développés qui permettent d’utiliser un accès de très petite taille évitant une large cicatrice.
Le Radiologue Interventionnel doit donc avoir à sa disposition à la fois des outils d’imagerie mais aussi des outils mécaniques, chimiques ou biologiques pour agir sur une cible. Il est un thérapeute qui va utiliser l’imagerie pour repérer la lésion, les outils pour s’en approcher et la traiter et encore pour contrôler en permanence les effets de son geste sur la lésion ou la fonction.
Pour en savoir plus, consulter le dossier complet sur La Révolution de la radiologie interventionnelle, rédigé par le Professeur Marc Sapoval, chef du service de radiologie cardio-vasculaire de l’Hôpital Européen Georges Pompidou - paru dans Biofutur (décembre 2005, no 261).
Mis à jour le 15-10-2012, 17:36:41